On se sent tout léger et ce qui nous motive nous transcende, un peu étourdi par l'air pur.
Mais voila, entre ce qui nous anime personnellement et ce que les autres vous renvoient , il y a un fossé.
Oui , parfois il y a des "retour" à la réalité parce qu'on peut, maladroitement faire du mal sans le savoir ou que nous n'arrivons pas à déchiffrer les attentes des autres. Et ce qui passe pour de l'indifférence est simplement une expression de soi mal exprimée.
Et ce retour des autres nous rend penaud
, comme incrédule face à une naïveté que l'on découvre avec honte.
Rien de ces chagrins qui forment , ne se consolent, mais avec le temps, ce qu'hier me renvoyait à un désarroi , aujourd'hui , exhumé, me rend méfiant.
J'aimerais avancer les paumes ouvertes