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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 09:42

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De retour chez moi à Nantes, je retrouve une note de lecture sur Trinh Xuan Thuan que je mettais en parallèle avec une des pensée rosicrucienne. Après la mort de Papa, cette lecture prend un autre sens :

Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, out ce qui es en bas est comme ce qui est en haut . De ce précepte rosicrucien , la lecture d'un entretien de Trinh Xuan Thuan en révèle sa justesse. En effet , nous sommes les enfants des étoiles, c'est à dire que la projection du Bing Bang a programmé la vie sur Terre et surtout l'émergence de la conscience.

Nous sommes donc étroitement lié à l'univers. Puisqu'il est à l'origine de notre vie, il connaît notre fin.

La question qui se pose c'est : l'Univers est en expansion jusqu'à devenir froid et s'éteindre ou imploser pour donner naissance à un autre Univers.

Telle est aussi notre questionnement : soit notre vie s'éteint et rien n'existe au delà de notre vie, soit nous « implosons » à notre mort pour donner naissance à une autre vie ou conscience.

Comme pour l'Univers , nous avons une alternative : le néant ou la renaissance.

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 09:41

 

noel

 

 

Dans un soucis de laïcité, certaines mairies remplacent " Joyeux Noël" par "Joyeuses fêtes" sur leurs frontons.

Mails conservent...le  Marché de Noël !

- Je vous arrête tout de suite jeune homme. Le marché de Noël relance l'économie, il fait partie de la sortie de crise. Il fabrique du Pib lui...

- Mille excuses alors....Tous ces chalets de montagnes qui vendent des produits made in china sont donc vertueux en période de crise.

 

L'économie est devenu un dogme, la croissance une espérance, la consommation une prière.

Vous verrez qu'un jour des associations de commerçants s'auto-proclammés 

 

 

"filles aînées de l'Église" !


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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 13:05

 

 

images-copie-7.jpgEntendu ce matin dans le Bus 81 ( décidément j'aime beaucoup ce bus..) :

-Yoan il est trop mignon !

- Ouais et en plus il porte des caleçons Dolce Cabana ... tu vois ?

 

Chacun ses critères.

Il y a quelques années c'était un célèbre publicitaire qui disait que si " ON n'a pas de Rollex à 50 ans , on a raté sa vie". Je n'ai aucune montre et je pense pas avoir raté ma vie. Non pas que je trouve cet objet inintéressant, mais je n'aime pas ce qui enserre le poignet. Pire que ça : je trouve que celui qui n'a pas de montre a réussi sa vie parce qu'il est maître de son temps. Une montre s'achète, le temps ça se paye et ça n' a pas de prix !

 

Chacun ses critères. Peut-être entendons nous un jour :

- il est trop mignon , il lit Krishnamurti dans le bus....

- Ouais et il comprend même ce qu'il lit ....

 

Mais je fantasme...Bon week-end à tous

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 12:05

P1100036 papate sillon copie(2)Un tiers me reprochait dernièrement de me lamenter sur ma lassitude alors que lui souffrait beaucoup plus que moi.

La souffrance est comme le chaud, le froid, c'est une question de perception. Nous sommes tous différents et notre sensibilité fait que telle situation, telle réflexion ne nous touche pas alors que pour d'autres, situation identique et réflexion équivalents peuvent les détruirent.

La souffrance est un résultat , et ce n'est pas un hit parade ou une compétition .

Ma lassitude de la semaine dernière n'est pas une révélation matinale, mais le résultat d'une accumulation de plusieurs choses , de plusieurs événements , qui fait qu 'à un moment donné tout ce que nous pouvons vivre est vécu avec fatigue et énervement.

Mais loin, très loin de moi , l'idée de mettre en balance ma lassitude avec celle d'un autre ou de démontrer que je souffre beaucoup plus que x ou y.

Ce serait ridicule et destructeur. Égocentrique.

La joie est exubérante et relie les individus.

La souffrance est intime et peut relier les individus.

Elle peut relier si je dégage de ma situation une souffrance universelle qui appelle la compassion.

Si je suis conscient qu'un état est pour moi difficile, je peux l'admettre pour toute autre personne vivant la même chose que moi.

Mettre en balance les souffrances et les juger se solde par culpabiliser l'autre. C'est vouloir s'imposer à l'autre, le dominer .

Je peux comprendre que dans certains cas et surtout avec beaucoup d'accumulation que l'on ai envie de faire souffrir la terre entière pour soulager sa propre souffrance. Parcequ'on a l'impression tout à coup d'être seul à ressentir cette douleur ou parce qu'on pense de pas mériter cette souffrance. Mais là encore, c'est la verbalisation d'une solitude et d'une injustice qui s'exprime, ce n'est pas la souffrance. Et vouloir la reporter sur un autre pour s'en soulager n’est que pure illusion : c'est simplement la déplacer en croyant l'anéantir.

D’ailleurs, pourquoi vouloir l'anéantir ? Elle est. Le seul fait de vouloir s'en séparer provoque de la souffrance car elle crée une résistance à un état . La souffrance existe et est en nous, elle ne doit pas nous dominer.

On peut l'exprimer , comme je peux dire mon ras le bol ou tel autre son stress quotidien au travail. La verbalisation d'un état est sans doute le premier pas vers sa reconnaissance . Mettre un mot sur un maux. Mais Krishnamurti nous dirait de faire attention que ce mots ne nous enferme pas sur une idée, une émotion qui ne serait peut-être pas la notre. Ce que nous vivons est très personnel et ne peut se comparer aux autres, cependant si son expression est différente, la racine est identique et nous partageons tous en réalité les même souffrance. Mais nous n'avons pas à juger la manière que l'autre a d'exprimer son propre ressentie.

 

Dans ces moments là, soyons simplement présents avec ce que nous sommes, sans en faire des tonnes .Ni profonds , ni léger. Venir, être avec toute son humanité et son cortège de gentillesse. Un ami me disait l'autre jour que mes appels étaient plus performant que son traitement. Et moi je me souviens d'une main sur mon épaule un soir où ma vie basculait. Une simple main avec beaucoup de silence....Mais quelle chaleur dans ce geste !

 

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 11:03

Dans un mois c'est la fin du Monde...c'est horrible je n'ai rien à me mettre !images-copie-6.jpg

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19 novembre 2012 1 19 /11 /novembre /2012 12:56

 

 

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Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière,

Dans de cruelles circonstances,
Je n’ai ni gémi ni pleuré,
Meurtri par cette existence,
Je suis debout bien que blessé,

En ce lieu de colère et de pleurs,
Se profile l’ombre de la mort,
Et je ne sais ce que me réserve le sort,
Mais je suis et je resterai sans peur,

Aussi étroit soit le chemin,
Nombreux les châtiments infâmes,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.

 

William Ernest Henley

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 09:49

Mais non Viviane, Facebook n'est pas impudique, ce n'est pas mon exhibitionnisme qui s'exprime mais l'exaltation de mon appétence, l'apologie de mon orgueil.

 

Et oui, chaque matin mon esprit met en marche une mécanique complexe qui accouche d'une réflexion, un mot, une idée, tout plutôt que l'anonymat.

Tout plutôt que l'invisible.

Se donner de l'importance en donnant du champ de la profondeur face à notre piètre quotidien. Se mettre au centre pour donner le change, pour paraître maître du jeux alors que cette vie est un puzzle dont je ne suis qu'un élément. Et tout le chagrin du monde est là : se sentir seul, se sentir en dehors du monde.

Mais ce sentiment née uniquement de notre volonté d'être important pour soi et par extension important pour les autres.. C'est naturellement humain de vouloir être et reconnu dans son périmètre proche à défaut de célébrité.

Nous souhaitons toujours que l'existence s'exprime par ce que nous faisons , nous savons et ce que nous avons. Donner de l'importance à ces trois paramètres permet d'exprimer ce que nous sommes dans la société. Mais une fois le spectacle de l'extérieur terminé, je suis quoi moi ?

Face à moi-même quand je ne pense plus au travail, aux autres, à mes achats, mes activités ; qu'est ce qui reste de moi ?

Un amas de chair et de sang. Une pompe cardiaque qui alimente, irrigue tout mon corps. Ce corps se déplace, frôle les autres, les évite, les heurte.

Ce corps abrite nos sens : écouter la musique comme le bruit, toucher et caresser, regarder ce qui m’entoure, sentir les odeurs, goûter et apprécier.

Tous ces sens pour ressentir : ressentir les bruits du quotidien comme une harmonieuse musique, toucher et caresser pour être troublé, goûter pour le plaisir, regarder la beauté qui se trouve partout et sentir les parfums portés par le vent.

Tout cela pour développer l'émotionnel, faire apparaître notre différence par ce que nous apprécions, ce que nous aimons.

Être bouleversé et ému par l'infini que nous pouvons être par nos sens : « J'ai mis de côté ce que j’appelle Moi et je suis devenu Monde immense »( précepte Zen)

 

Je suis fleuve, naissance des montagnes, mouvement des planètes, silence des solitudes. Mais aussi pauvreté, misère sociale, violence, coups de poings donnés et reçus. Si je suis ou si je pense être tout ça , ressens tout cela, je ne veux que le meilleurs pour moi, alors pourquoi le refuser aux autres ? Si je veux la quiétude, pourquoi vouloir la souffrance des autres ?

Je suis humain et par extension , je suis l'Humanité. Rien d'exceptionnel, et pourtant , porteur de vie, porte parole de la Vie, quelque chose de plus important que moi.

 

Facebook, Viviane, n'est que la partie émergée , la prolongation de mon ego, ce que je pense valoir à mes propres yeux ? Et j'assume.

Mais je suis aussi tout ce qui est en dessous de l'iceberg et en moi , dans mon intimité il y a tout un Univers.

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 12:21

► 4:44► 4:44

www.youtube.com/watch?v=hbdaKpsfZH4

 

Pour remercier Serge Dassault de sa prose journalistique qui frise la poésie, quitte quelques fois même dépasser Mallarmé, pour sa vision "visionaire" de l'humain, pour ce côté Humaniste qui toute sa vie a montré la voie aux autres marchands d'armes :

 

"Mais moi je n'iras pas plus loin,

Je tiens ma tête entre mes mains

Guignol ne connaît pas de sous-métier....

Je ris à m'en faire crever !"

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 12:09

Tenir bon-Lâcher prise

Coralie sur son mur Facebook a écrit : «  La vie est un subtil mélange de tenir bon et de lâcher prise »

Qu'est ce que tenir bon?C'est serrer les dents pour ne pas montrer nos fragilités ou le fait d'être blésé par un tiers. C'est aussi de serrer les fesses quand on ne suit pas les règles afin de parvenir à ses fins.

En règle générale, le tenir bon est surtout une réaction vis à vis de l’extérieur et des autres.

Le tenir bon c'est aussi se fixer un but et y mettre toute son énergie pour l'atteindre. La réussite est à ce prix. Tenir bon c'est être convaincu de soi face aux autres, un mélange de romanesque dans l'affirmation de sa différence et d’orgueil dans la propagande de cette différence.

Tenir bon malgré , bon grès, contre tous mais jamais avec les autres. Tenir bon ce n'est jamais avec , c'est toujours contre.

Tenir bon c'est une tension , une résistance quotidienne qui ronge toutes autres possibilité d'être autre chose que cette propre tension .

Et si ce tenir bon à tout prix était une fausse piste, une fausse route, une utopie pour sortir de l'invisible , une justification de notre entêtement. Nous sommes d'accord que tout est argumentable à partir de toute conviction. Même si j'ai tort , je peux en toute mauvaise foi expliquer et convaincre de mes choix non seulement moi mais les autres.

Quand il fait froid, on a tendance à se contracter pour se prévenir du froid et c’est l'inverse qui se produit:il faut ne plus penser au froid pour que le corps ne se crispe pas, il faut lâcher prise.

Le lâcher prise n'est pas un désintéressement de tout et de tous.

C'est atténuer la tension qui nous attache à telle idée, tel projet ou telle personne.

Car plus nous tenons bon, plus la tension augmente, plus le lâcher prise se fera avec violence.

Imaginez que toute volonté, toute attention , toute énergie se porte sur un seul objectif. Imaginez que tout à coup cet objectif s'écroule ; votre projet refusé, l être aimé vous repousse ou que telle situation vous échappe...que se passe t-il de ce tenir bon qui s'écroule : une implosion de l'individu ? Une rancune, une dépression, un cynisme, une haine ?

Le lâcher prise ce n'est pas donner de l'importance à un objectif pas plus ni moins que les autres objectifs ou contraintes. Tout doit être égal , équivalent , rien ne doit prédominer.

Tenir bon est singulier, lâcher prise est pluriel.

Toute la question est de savoir si nous sommes uniquement le but fixé ( le tenir bon) ou l'étendue de ce que nous pouvons être dans cette vie ( le lâcher prise)

Le lâche prise c'est avant tout se détendre en réduisant le tension qui nous unit à l'extérieur, c'est donner une chance à notre monde intérieur de s'extérioriser .Le lâcher prise c'est mettre tout à niveau pour hiérarchiser ce qui est important par rapport à ce qui est imposant.

Et là ce n'est pas chose facile et aisée.

Outre les contingences du quotidien , il y a nos aspirations. Et nous sommes tous convaincus que tel poste ou tel objet ou telle personne est pour moi, me correspond à 100 % ;

Sans compter tous les détails qui nous gênent ou les milles petits signes qui attisent ce à quoi nous tenons ou aspirons. Tous ces petits rien qui alimentent sans cesse nos pensées et notre émotionnel.

Mettre tout sur le même plan c'est éviter de charger l’émotionnel de nos projections. ;

Tenir bon c'est réduire toutes ses projections en un point qui rétrécit au fur et à mesure de nos implications, qui s éloigne au fur et à mesure de l'augmentation de la charge émotionnelle.

Mais l'Homme est ainsi fait, il a besoin de projets, il a besoin de but, pour exprimer leur être., il a besoin d'un terrain de jeux pour que vive sa partie. Si je n'arrive pas à me projeter dans l'avenir , je n'ai pas de place dans le présent , je deviens acteur hypothétique d'une situation que j'ai inventé ou que je souhaiterais qu'elle arrive. Donc je ne suis pas dans le présent , le lâcher prise nous apporte le présent.

 

Attention cependant , si à certain moments nous nous sentons dépassé, dépossédé comme plus maître de ce qui se passe car la projection de soi colle rarement à la réalité, ne pas se forcer pour lâcher prise ! Ce n'est pas une réponse , une méthode ? Placer le lâcher prise comme but reviendrait à remplacer une tension par une autre. Ce serait un peu : tenons bon dans le lâcher prise : une résistance contre une résistance.

Sans tenir bon pas de projection , pas d'avenir ; sans lâcher prise pas de présent ….mais il faut à la fois vivre le présent et le présent prépare l'avenir.

Quand Coralie vous disait que c’était un subtil mélange....

 

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 09:45

Ce matin, j'ai du me lever tôt pour prendre mon bus à la sortie du village, jour férié oblige. J'ai donc traversé le village par le haut, j'ai vu la Loire se réveiller. Deux marchands de chrysanthèmes se disputaient la place devant les grilles du cimetière, le drapeau tricolore flottait au dessus du Monument au morts. La pluie de la veille a lessivé le sol et la mousse restante sur le bitume rendait la rue glissante par endroit. Une maison avait laissé une lanterne allumée , sans doute prévenante d'un retour nocturne. J'ai emprunté la route bordée de platanes qui longe la mare où un héron cendré se reposait.
Il n'est que 8h15 et déjà tout ça de vécu !

Devant l'abri bus une flaque masquée par des feuilles sournoisement m'attendait. Et un crétin d'automobiliste, bien évidement, dessina une belle gerbe d'eau ....et me voici copieusement arrosé !
Alors toi, crétin égoïste, tu n'est pas responsable de la flaque , pas plus que moi, mais faire attention aux autres n'est pas seulement pour les piétons.
Imagines, détenteur de permis à arroser, que j'attrape un coup de froid à cause de toi...Dévoué à mon travail, je ne vais pas voir le médecin, ma maladie s'aggrave. Je termine à l'hôpital sous respiration artificielle dans l'unité des cas désespérés. On m'enterre quelques jours plus tard et un journaliste de Ouest France raconte cette histoire. Un immense élan de solidarité naît, on organise partout dans le département des marches blanches.

Au 20H, Pujadas s'excite: " Avant d'aborder la crise financière , ce fait divers atroce qui submerge toute la région Ouest de la France et au delà de nos frontières..."

Mireille Matthieu boulversée annonce un grand concdert de solidarité avec les Choeurs de l'Armée Rouge. Bono et Sting décident un contre-concert altrenatif, même Joan Baez viendra chanter. De leurs côtés , les intégriste écologistes demandent des abris en bambous imperméables.

BHL signe une tribune dans LE MONDEet Claude allègre contre-attaque en démontrant que l'homme n'est pour rien dans le bitume qui garde les flaques pas plus que le réchauffement de la plânete.

Le débat atteint même Matignon : l'opposition dénonce l'immobilisme du gouvernement face aux flaques d'eau. Sommer de s"expliquer , le premier Ministre doit démissionner.


L'Europe colle une amende à la France car elle ne gère pas les flaques d'eau, heurtée par l'ingérence de Bruxelles, opposition et majorité décident de sortir de l'Europe.

Le Brésil cèdent une grande partie de l'Amazonie pour faire pousser des bambous destinés au marché européen. L'affaire est porté à l'ONU où le Conseil de Sécurité envoi des Casques Bleus.


Blessée par les propos anti-eau, l'Afrique décide d'un ultimatum à l'Europe : donnez-nous les flaques qui mouillent vos citoyens et qui ne servent à rien !
L'Asie en profite pour mener une attaque sur les bourses du monde entier, la Terre s'enfonce dans une profonde dépression, s'ensuit les famines , les guerres, la fin du Monde.

Crétin d'automobiliste matinal de Basse Indre, tu es responsable de la Fin du Monde !
Crétins d'automobilistes qui adorent faire des gerbes d'eau je vous déteste !

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