Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 février 2020 4 20 /02 /février /2020 06:43
Agenda de ma petite virée premier semestre 2020 :

 

Agenda de ma petite virée premier semestre 2020 :

22/02 Librairie de L'Atalante (Nantes)
29/02 Salon du polar  et de la Bd à Blain (44)
7 et 8/03 salon du livre  Les Pieux (50)
20 et 21/03 salon du livre de Paris ( Stand Vibrations- Grand Est)
7 et 8/05 salon du polar  Mauves sur Noir ( 44)
17/06 Passage Pommeraye (Nantes)

 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
13 février 2020 4 13 /02 /février /2020 15:23
Ce ne sont jamais les morts que l'on pleure

Ce ne sont jamais les morts que l'on pleure... Devant les "RIP" empruntés à la culture américaine, qui foisonnent sur le net à chaque décès, c'est notre rapport à ceux qui partent qui nous attriste et non leurs disparitions. Nous pleurons nos souvenirs, le temps qui passe, nos références à nos vies, ce qu'ils représentaient pour nous mais jamais eux en tant que personne. Nous pleurons des images d'eux dans des reflets de nous.
Pire, pour les proches, nous pleurons l’habitude de la présence et non l'absence que nous pensons comme définitive.
Finalement, la mort des autres, qu'ils soient célèbres ou non, a quelque chose de   profondément égoïste.
 

Partager cet article
Repost0
9 février 2020 7 09 /02 /février /2020 08:03
Boutique Hôtel

Deux ans... Deux ans à vivre avec un narrateur imaginaire, vivre avec ses doutes , ses espérances, son mal-être et son envie de prendre enfin sa vie en mains. Deux ans à écrire ses observations des clients dans ce Boutique Hôtel où il s'est réfugié pour ne pas assister au mariage de son ex. Une semaine de vacances pour redémarrer un vie de célibataire, une vie de solitaire lui qui n'a jamais vécu seul. Et puis il y a les rencontres avec les îliens , surtout cette femme dont on dit qu'elle aurait assassiné avec son mari, un de ses prétendants, ça le démange de découvrir la vérité.
Et qui croyez-vous qui débarque sur cette île pour son voyage de noces ?

A découvrir en septembre chez Vibrations éditions .

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 13:57
Dans le tram

Dans le tram, quand on bouquine, on prend l'air absorbé mais les oreilles traînent toujours à l’affût d'une indiscrétion  : deux trentenaires, bcbg parlent à voix basse 

- Ce que je préfère dans le porno, tu vois, c'est le côté narratif , l’ambiguïté de la rencontre. Le reste, c'est de la perf' sportive.
- T'es bizarre toi depuis que t'es devenu Vegan
- J'vois pas le rapport ! 

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2020 4 16 /01 /janvier /2020 06:23
Qui se souvient de Wargames ?
Souvenez-vous de la fin du film Wargames sorti en 1983 Un adolescent,as de l'informatique,  
s'introduit par erreur dans le commandement de la force de frappe nucléaire aux USA. 
Il croit avoir piraté un nouveau jeux ultra sophistiqué et amorce une partie avec Joshua , 
nom de l'ordinateur central. Émoi chez les militaires qui sont contre le projet de laisser 
la défense des Etats Unis à une machine ( en pleine guerre froide, Hollywood se devait 
d'admirer les militaires ) qui regardent se préparer une troisième guerre mondiale 
car notre pirate en herbe a enclenché un jeux qui n'est d'autre qu'une riposte à une 
attaque de missile nucléaire de l'Union Soviétique ( pour les plus jeunes, allez voir sur 
Wikipédia ce qu’était l'Union Soviétique). Donc voila notre chenapan emmené de force 
dans le bunker des généraux essayant de désamorcer la catastrophe qui s'annonce. 
Joshua lance donc un cataclysme atomique qui se révèle n’être qu'une simulation car 
cet ordinateur conçu par un sage, décrète que ce jeux n'est pas intéressante car il n'y a
 pas de  gagnant , mais que des perdants.
Je ne sais pas pourquoi, mais à chaque fois que je regarde un débat politique où 
chacun avance ses  arguments, affûte des conviction et se perd en posture, 
je repense à ce film... allez savoir pourquoi !
 
Partager cet article
Repost0
9 janvier 2020 4 09 /01 /janvier /2020 13:06
Je suis Charlie : ni oublié, ni pardonné

Cinq ans après Charlie, je n'ai ni oublié, ni pardonné. Je ne vis pas dans un souvenir permanent ni dans une rancœur entretenue mais j'ai encore en moi, intacte,  la trace indélébile de l'incompréhension et de l'absurde.
Non, je n'oublierai jamais et je ne pardonnerai jamais. Je ne haïrai pas non plus : la haine occupe plus que toute autre chose dans ce monde, elle prend trop de temps et d'espace pour lui accorder de l'importance. Je vis avec "quelque chose" en moins, comme amputé d'un membre utile et nécessaire à mon bon fonctionnement. Ma seule consolation est que l'Histoire est toujours écrite par les vainqueurs. Moi je garde nos victimes en mémoire et continuerai de  conspuer ces pseudos martyrs et tous les salauds de leur espéce qui confonde religion avec orgeuil.
Au purgatoire des vaincus, il doit y avoir deux cocus qui doivent se bâfrer de jeunes vierges et de pinard à volonté- après  avoir voulu les interdire de leur vivant- à qui je souhaite une belle cirrhose du foi et syphilis pour le restant de l'éternité.

Partager cet article
Repost0
1 janvier 2020 3 01 /01 /janvier /2020 17:54
"Un homme sans espoir dans de place dans l'avenir" ( A.Camus) vœux de 2020
Pour ces vœux de 2020, n'attendez pas de moi de la  compassion sur les malheurs du monde. Je ne manque pas d’empathie, mais j'ai toujours pensé que la gravité ne rend pas forcément plus intelligent ou plus vertueux et que ce n'est parfois qu'un dérivé de l’appétence, ce low-cost de l’orgueil.
Pour 2020, je nous souhaite de l’espérance !
Un minimum ou une grande bouffé délirante, peu importe, mais remettons au goût du jour le verbe espérer. Car là où les convictions divisent, l'espérance fédère. Et ce sera peut-être le premier pas vers une prise de conscience que nous sommes tous dans le même bateau, prêts à œuvrer ensemble, créer enfin cette belle et fraternelle humanité. Et comme on dit de par chez nous : là où il y a de la vie,, il y a de l'espoir,  alors laissons nous tenter de sentir en vie...
Espérer, aimer, ne pas regretter.
Belle année 2020 !
Partager cet article
Repost0
20 décembre 2019 5 20 /12 /décembre /2019 06:31
Conte de Noël

C'était notre premier Noël dans cette maison et pendant que mon épouse décorait le sapin avec notre fille, je rangeais les derniers cartons. Ma petite fille me demanda si c'est toujours vrai qu'à Noël il se passe des           miracles. J'étais bien en peine de lui raconter quoi que ce soit de féerique sur cette période, je n'ai jamais eu de mémoire ni su comment raconter les histoires.  Ma fille insista : " Les contes de fées, les princes, les princesses, tout ça, ça existe ?" Je ne savais toujours pas quoi lui répondre et ma femme se moquait de moi en me voyant patauger . Je commença alors à lui raconter que cette maison, j'en été tombé amoureux il y a très longtemps, quand je suis arrivé dans cette ville suite à une mutation. Le dimanche, bien avant le numérique, je marchait dans les quartiers et prenait des photos. Puis un jour, en hiver, je suis tombé sur cette rue qui borde le lac , il pleuvait et il n'y avait personne. J'avais pris des clichés. Je ne sais pas pourquoi, mais il y avait quelque chose qui m'attirait dans cette petite maison, rien d'imposant, mais quelque chose de simple, d'harmonieux. Et des années plus tard, j'avais été très heureux de la trouver à la vente.
Ma fille haussa les épaules : " C'est pas une histoire ça papa..." Je déballais le denier craton dans lequel j'avais rassemblé toutes mes photos prises de la ville. Ma fille fouilla dans le tas et regarda plusieurs photos. Tout à coup, elle hurla : " Elle est là ton histoire papa !", elle me tendit la photo de la maison prise des années en arrière et sur la photo, je vis une silhouette, ma femme ! Ma femme prit à son tour la photo :  "C'est bien moi, ça alors..." Elle ne souvenait plus d'être passée par là à cette période et moi de mon
côté, je me souvenais précisément qu'il pleuvait et qu'il n'y avait personne. Nous restâmes perplexes devant le cliché. Notre fille déclara : " En fait papa, ce jour-là, tu n'es pas tombé amoureux de la maison, mais de maman !".
Je tenais là, mon histoire de Noël, cette histoire que je raconte désormais à chacun de mes enfants.

( d'après une histoire vraies)

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2019 6 14 /12 /décembre /2019 07:57

Partager cet article
Repost0
7 décembre 2019 6 07 /12 /décembre /2019 07:27
Il faut sauver le policier de France 3

Le téléfilm policier de France 3 est en danger : il faut le sauver face à l'invasion des séries Netflix ! Dans une interview donnée à Télérama, un scénariste défend l'idée que l'avenir des fictions passe par des formats plus longs sur des saisons renouvelables avec des histoires à tiroirs. La série  qui propose des formats téléfilm est vouée à disparaître car le téléspectateur cherche une série complexe, avec des intrigues qui dramatisent la réalité pour mieux s'y reconnaître et sur des durées plus longues.
La réalité passe aujourd'hui par la fiction, c'est indéniable, mais si cette réalité est caricaturée ou falsifiée pour des besoins narratifs,  quel sera notre rapport avec  la perception de cette réalité ? Sans parler de l'addiction que procure les saisons des séries, maintenant les téléspectateurs aliénés à leur télé. Les fictions proposées par les chaînes comme Netflix sont remarquables, innovantes , bourrées de bonnes idées avec des moyens financiers incroyable. Ce n'est pas la qualité que je juge. Mais je veux défendre le droit à se divertir devant une fiction policière de France 3 , non pour défendre le terroir et la diversité, non, je souhaite, le soir, ne pas me prendre la tête , un truc tout simple : un meurtre, des policiers, et au bout d'une heure et demi, le coupable en prison. Et puis c'est tout. Et avec de beaux paysages qui me font penser aux prochaines vacances . 

Sauvons donc " Meurtre à...", Capitaine Marleau, Commissaire Magellan, Mondevielle etc... et préservons notre Barnaby et Vérà du dimanche soir !

Défendons la fiction de France Télévision !

Partager cet article
Repost0